Na`arah (nah-ar-aw')
Strong Hebreu 5291
Code : 5291
Mot :
Hebreu : נַעֲרָה Phonétique : (nah-ar-aw')
Type : Nom féminin
Origine : Vient de 05288
Na`arah
Hebreu : נַעֲרָה Phonétique : (nah-ar-aw')
Type : Nom féminin
Origine : Vient de 05288
Définition de
Na`arah:
1) jeune fille, demoiselle, servante
1a) petite fille1a1) jeune femme, fille en âge de se marier, concubine, compagne, prostituée1b) une bonne, une femme de service, une servante
Traduction Louis Segond :
jeune fille, servante, compagne, jeune femme, fille; (62 fois)
jeune fille, servante, compagne, jeune femme, fille; (62 fois)
Exemples de versets utilisant le mot
Na`arah:
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Que la jeune fille (Na`arah) à laquelle je dirai : Penche ta cruche, je te prie, pour que je boive , et qui répondra : Bois, et je donnerai aussi à boire à tes chameaux, soit celle que tu as destinée à ton serviteur Isaac ! Et par là je connaîtrai que tu uses de bonté envers mon seigneur.
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C’était une jeune fille (Na`arah) très belle de figure ; elle était vierge, et aucun homme ne l’avait connue. Elle descendit à la source, remplit sa cruche, et remonta.
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La jeune fille (Na`arah) courut raconter ces choses à la maison de sa mère.
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Le frère et la mère dirent : Que la jeune fille (Na`arah) reste avec nous quelque temps encore, une dizaine de jours ; ensuite, tu partiras.
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Alors ils répondirent : Appelons la jeune fille (Na`arah) et consultons -la.
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Rebecca se leva, avec ses servantes (Na`arah) ; elles montèrent sur les chameaux, et suivirent l’homme. Et le serviteur emmena Rebecca, et partit.
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Son cœur s’attacha à Dina, fille de Jacob ; il aima la jeune fille (Na`arah), et sut parler à son cœur.
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Exigez de moi une forte dot et beaucoup de présents, et je donnerai ce que vous me direz ; mais accordez-moi pour femme la jeune fille (Na`arah).
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La fille de Pharaon descendit au fleuve pour se baigner, et ses compagnes (Na`arah) se promenèrent le long du fleuve. Elle aperçut la caisse au milieu des roseaux, et elle envoya sa servante pour la prendre.
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alors le père et la mère de la jeune femme (Na`arah) prendront les signes de sa (Na`arah) virginité et les produiront devant les anciens de la ville, à la porte.
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Le père de la jeune femme (Na`arah) dira aux anciens : J’ai donné ma fille pour femme à cet homme, et il l’a prise en aversion ;
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et, parce qu’il a porté atteinte à la réputation d’une vierge d’Israël, ils le condamneront à une amende de cent sicles d’argent, qu’ils donneront au père de la jeune femme (Na`arah). Elle restera sa femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu’il vivra.
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Mais si le fait est vrai, si la jeune femme (Na`arah) ne s’est point trouvée vierge,
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on fera sortir la jeune femme (Na`arah) à l’entrée de la maison de son père ; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu’elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.
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Si une jeune fille (Na`arah) vierge est fiancée, et qu’un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle,
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vous les amènerez tous deux à la porte de la ville, vous les lapiderez, et ils mourront, la jeune fille (Na`arah) pour n’avoir pas crié dans la ville, et l’homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.
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Mais si c’est dans les champs que cet homme rencontre la jeune femme (Na`arah) fiancée , lui fait violence et couche avec elle, l’homme qui aura couché avec elle sera seul puni de mort.
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Tu ne feras rien à la jeune fille (Na`arah) ; elle (Na`arah) n’est pas coupable d’un crime digne de mort , car il en est de ce cas comme de celui où un homme se jette sur son prochain et lui ôte la vie.
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La jeune fille (Na`arah) fiancée, que cet homme a rencontrée dans les champs, a pu crier sans qu’il y ait eu personne pour la secourir.
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Si un homme rencontre une jeune fille (Na`arah) vierge non fiancée, lui fait violence et couche avec elle, et qu’on vienne à les surprendre,
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