Nakar (naw-kar')

Strong Hebreu 5234

Code : 5234     Mot : Nakar
Hebreu : נָכַר     Phonétique : (naw-kar')

Type : Verbe
Origine : Une racine primaire


Définition de Nakar :

1) reconnaître, avoir connaissance de, respecter, discerner, égard
1a) (Nifal) être reconnu
1b) (Piel) regarder
1c) (Hifil)
1c1) observer, prêter attention à, avoir égard à, remarquer
1c2) reconnaître (ce qui a déjà été connu), percevoir
1c3) vouloir reconnaître ou connaître
1c4) être d'accord avec
1c5) distinguer, comprendre
1d) (Hitpael) se faire connaître
2) agir ou traiter en étranger, déguiser, mal interpréter
2a) (Nifal) se déguiser
2b) (Piel)
2b1) traiter comme étranger (profaner)
2b2) tourner en mal
2c) (Hitpael)
2c1) agir comme un étranger
2c2) se déguiser



Traduction Louis Segond :
connaître, reconnaître, examiner, avoir égard à, se méprendre, distinguer, s'intéresser, livrer, se donner pour un autre, savoir, inconnu, étranger, se déguiser, ignorer, profaner; (50 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Nakar :
Il ne le reconnut (Nakar) pas, parce que ses mains étaient velues, comme les mains d’Esaü, son frère ; et il le bénit.
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine (Nakar) ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
Ils envoyèrent à leur père la tunique de plusieurs couleurs, en lui faisant dire : Voici ce que nous avons trouvé ! reconnais (Nakar) si c’est la tunique de ton fils, ou non.
Jacob la reconnut (Nakar), et dit : C’est la tunique de mon fils ! une bête féroce  l’a dévoré ! Joseph a été mis en pièces !
Comme on l’amenait dehors, elle fit dire à son beau-père : C’est de l’homme  à qui ces choses appartiennent que je suis enceinte ; reconnais (Nakar), je te prie, à qui sont ce cachet, ces cordons  et ce bâton.
Juda les reconnut (Nakar), et dit : Elle est moins coupable que moi, puisque je ne l’ai pas donnée à Schéla, mon fils. Et il ne la connut plus.
Joseph vit ses frères et les reconnut (Nakar) ; mais il feignit d’être un étranger (Nakar) pour eux, il leur parla durement, et leur dit : D’où venez-vous ? Ils répondirent : Du pays de Canaan, pour acheter des vivres.
Joseph reconnut (Nakar) ses frères, mais eux ne le reconnurent (Nakar) pas.
Vous n’aurez point égard (Nakar) à l’apparence des personnes dans vos jugements ; vous écouterez le petit comme le grand ; vous ne craindrez aucun homme, car c’est Dieu qui rend la justice. Et lorsque vous trouverez une cause trop difficile, vous la porterez devant moi, pour que je l’entende.
Tu ne porteras atteinte à aucun droit, tu n’auras point égard (Nakar) à l’apparence des personnes, et tu ne recevras point de présent, car les présents aveuglent les yeux des sages et corrompent les paroles des justes.
Mais il reconnaîtra (Nakar) pour premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient.
Mais je crains les insultes de l’ennemi, Je crains que leurs adversaires ne se méprennent (Nakar), Et qu’ils ne disent : Notre main a été puissante, Et ce n’est pas l’Éternel qui a fait toutes ces choses.
Lévi dit de son père et de sa mère : Je ne les ai point vus ! Il ne distingue (Nakar) point ses frères, Il ne connaît point ses enfants. Car ils observent ta parole, Et ils gardent ton alliance ;
Comme ils étaient près de la maison de Mica, ils reconnurent (Nakar) la voix du jeune Lévite , s’approchèrent et lui dirent : Qui t’a amené ici ? que fais-tu dans ce lieu ? et qu’as-tu ici ?
Alors elle tomba sur sa face et se prosterna contre terre, et elle lui dit : Comment ai-je trouvé grâce à tes yeux, pour que tu t’intéresses (Nakar) à moi, à moi qui suis une étrangère ?
Sa belle-mère lui dit : Où as-tu glané aujourd’hui, et où as-tu travaillé ? Béni soit celui qui s’est intéressé (Nakar) à toi ! Et Ruth fit connaître à sa belle-mère chez qui elle avait travaillé : L’homme chez qui j’ai travaillé aujourd’hui, dit-elle, s’appelle Boaz.
Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître (Nakar) l’un l’autre. Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire.
Saül fut informé de l’arrivée de David à Keïla, et il dit : Dieu le livre (Nakar) entre mes mains, car il est venu s’enfermer dans une ville qui a des portes et des barres.
Saül reconnut (Nakar) la voix de David, et dit : Est-ce bien ta voix , mon fils David ? Et David répondit : C’est ma voix, ô roi, mon seigneur !
Cela fut connu (Nakar) et approuvé de tout le peuple, qui trouva bon tout ce qu’avait fait le roi.




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