Nahag (naw-hag')

Strong Hebreu 5090

Code : 5090     Mot : Nahag
Hebreu : נָהַג     Phonétique : (naw-hag')

Type : Verbe
Origine : Une racine primaire


Définition de Nahag :

1) conduire, mener, guider, emmener
1a) (Qal)
1a1) conduire, pousser, emmener au loin
1a2) se conduire lui-même (figuré) (du cœur)
1b) (Piel)
1b1) mener, guider
2) (Piel) gémir, se lamenter



Traduction Louis Segond :
emmener, mener, rendre, conduire, à la tête, enlever, être unguide, laisser entrer, gémir; (31 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Nahag :
Il emmena (Nahag) tout son troupeau et tous les biens qu’il possédait, le troupeau qui lui appartenait, qu’il avait acquis à Paddan-Aram ; et il s’en alla vers Isaac, son père, au pays de Canaan.
Alors Laban dit à Jacob : Qu’as-tu fait ? Pourquoi m’as-tu trompé, et emmènes (Nahag)-tu mes filles comme des captives par l’épée ?
Moïse faisait paître le troupeau de Jéthro, son beau-père, sacrificateur de Madian ; et il mena (Nahag) le troupeau derrière le désert, et vint  à la montagne de Dieu, à Horeb.
Moïse étendit sa verge sur le pays d’Egypte ; et l’Éternel fit  (Nahag) souffler un vent d’orient sur le pays toute cette journée et toute la nuit. Quand ce fut le matin , le vent d’orient avait apporté les sauterelles.
Il ôta les roues de leurs chars et en rendit la marche difficile (Nahag). Les Egyptiens dirent alors : Fuyons devant Israël, car l’Éternel combat pour lui contre les Egyptiens.
L’Éternel vous dispersera parmi les peuples, et vous ne resterez qu’un petit nombre au milieu des nations où l’Éternel vous emmènera (Nahag).
Et tu seras un sujet d’étonnement, de sarcasme et de raillerie, parmi tous les peuples chez qui l’Éternel te mènera (Nahag).
David alla donc avec ses gens à Keïla, et il se battit contre les Philistins ; il emmena (Nahag) leur bétail, Et leur fit éprouver une grande défaite. Ainsi David délivra les habitants de Keïla.
après avoir fait prisonniers les femmes et tous ceux qui s’y trouvaient, petits et grands. Ils n’avaient tué personne, mais ils avaient tout emmené (Nahag) et s’étaient remis en route.
Et David prit tout le menu et le gros bétail ; et ceux qui conduisaient (Nahag) ce troupeau et marchaient à sa tête disaient : C’est ici le butin de David.
Tous les hommes méchants et vils parmi les gens qui étaient allés avec David prirent la parole et dirent : Puisqu’ils ne sont pas venus avec nous, nous ne leur donnerons rien du butin que nous avons sauvé, sinon à chacun sa femme et ses enfants ; qu’ils les emmènent (Nahag), et s’en aillent.
Ils mirent sur un char neuf l’arche de Dieu, et l’emportèrent de la maison d’Abinadab sur la colline ; Uzza et Achjo, fils d’Abinadab, conduisaient (Nahag) le char neuf.
Puis elle fit seller l’ânesse, et dit à son serviteur : Mène (Nahag) et pars ; ne m’arrête pas en route sans que je te le dise.
La sentinelle en donna avis, et dit : Il est allé jusqu’à eux, et il ne revient pas. Et le train est comme celui de Jéhu, fils de Nimschi, car il conduit (Nahag) d’une manière insensée.
Ils mirent sur un char neuf l’arche de Dieu, qu’ils emportèrent de la maison d’Abinadab : Uzza et Achjo conduisaient (Nahag) le char.
L’année suivante, au temps où les rois se mettaient en campagne, Joab, à la tête (Nahag) d’une forte armée, alla ravager le pays des fils d’Ammon et assiéger Rabba. Mais David resta à Jérusalem. Joab battit Rabba et la détruisit.
Amatsia prit courage, et conduisit (Nahag) son peuple. Il alla dans la vallée du sel, et il battit dix mille hommes des fils de Séir.
On enlève (Nahag) l’âne de l’orphelin, On prend pour gage le bœuf de la veuve ;
Voilà le Dieu qui est notre Dieu éternellement et à jamais ; Il sera notre guide (Nahag) jusqu’à la mort.
Il fit souffler dans les cieux le vent d’orient, Et il amena (Nahag) par sa puissance le vent du midi ;




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