'abbiyr
'abbiyr:
1) puissance, vaillance
1a) des hommes, des anges, des animaux
1b) (métaphorique) des ennemis, des princes
1c) obstination (figuré)
'abbiyr:
Alors les talons des chevaux retentirent, A la fuite, à la fuite précipitée de leurs guerriers ('abbiyr).
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Là, ce même jour, un homme d’entre les serviteurs de Saül se trouvait enfermé devant l’Éternel ; c’était un Edomite, nommé Doëg, chef ('abbiyr) des bergers de Saül.
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Non ! Dieu par sa force prolonge les jours des violents ('abbiyr), Et les voilà debout quand ils désespéraient de la vie ;
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En un instant, ils perdent la vie ; Au milieu de la nuit, un peuple chancelle et périt ; Le puissant ('abbiyr) disparaît, sans la main d’aucun homme.
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De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux ('abbiyr) de Basan m’environnent.
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Est-ce que je mange la chair des taureaux ('abbiyr) ? Est-ce que je bois le sang des boucs ?
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Epouvante l’animal des roseaux, La troupe des taureaux ('abbiyr) avec les veaux des peuples, Qui se prosternent avec des pièces d’argent ! Disperse les peuples qui prennent plaisir à combattre !
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Ils ont été dépouillés, ces héros pleins de courage ('abbiyr), Ils se sont endormis de leur dernier sommeil ; Ils n’ont pas su se défendre, tous ces vaillants hommes.
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Ils mangèrent tous le pain des grands ('abbiyr), Il leur envoya de la nourriture à satiété.
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Car il dit : C’est par la force de ma main que j’ai agi, C’est par ma sagesse , car je suis intelligent ; J’ai reculé les limites des peuples, et pillé leurs trésors, Et, comme un héros ('abbiyr), j’ai renversé ceux qui siégeaient sur des trônes ;
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Les buffles tombent avec eux, Et les bœufs avec les taureaux ('abbiyr) ; La terre s’abreuve de sang, Et le sol est imprégné de graisse.
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Ecoutez-moi, gens endurcis ('abbiyr) de cœur, Ennemis de la droiture !
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Le hennissement ('abbiyr) de ses chevaux se fait entendre du côté de Dan, Et au bruit de leur hennissement toute la terre tremble ; Ils viennent, ils dévorent le pays et ce qu’il renferme, La ville et ceux qui l’habitent.
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Pourquoi tes vaillants ('abbiyr) hommes sont-ils emportés ? Ils ne tiennent pas ferme, car l’Éternel les renverse.
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A cause du retentissement des sabots de ses puissants ('abbiyr) chevaux, Du bruit de ses chars et du fracas des roues ; Les pères ne se tournent pas vers leurs enfants, Tant les mains sont affaiblies,
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Oui, soyez dans la joie, dans l’allégresse, Vous qui avez pillé mon héritage ! Oui, bondissez comme une génisse dans l’herbe, Hennissez comme des chevaux fougueux ('abbiyr) !
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Le Seigneur a terrassé tous mes guerriers ('abbiyr) au milieu de moi ; Il a rassemblé contre moi une armée, Pour détruire mes jeunes hommes ; Le Seigneur a foulé au pressoir la vierge, fille de Juda.
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