Ma`abar ou féminin ma`abarah
Ma`abar ou féminin ma`abarah:
1) un gué, un col, une passe, un passage
1a) un balayage, un coup
Ma`abar ou féminin ma`abarah:
Il se leva la même nuit, prit ses deux femmes, ses deux servantes, et ses onze enfants, et passa le gué (Ma`abar ou féminin ma`abarah) de Jabbok.
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Ces gens les poursuivirent par le chemin qui mène au gué (Ma`abar ou féminin ma`abarah) du Jourdain, et l’on ferma la porte après qu’ils furent sortis.
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Il leur dit : Suivez-moi, car l’Éternel a livré entre vos mains les Moabites, vos ennemis. Ils descendirent après lui, s’emparèrent des gués (Ma`abar ou féminin ma`abarah) du Jourdain vis-à-vis de Moab, et ne laissèrent passer personne.
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Galaad s’empara des gués (Ma`abar ou féminin ma`abarah) du Jourdain du côté d’Ephraïm. Et quand l’un des fuyards d’Ephraïm disait : Laissez-moi passer ! les hommes de Galaad lui demandaient : Es-tu Ephraïmite ? Il répondait : Non.
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Ils lui disaient alors : Hé bien, dis Schibboleth. Et il disait Sibboleth, car il ne pouvait pas bien prononcer. Sur quoi les hommes de Galaad le saisissaient, et l’égorgeaient près des gués (Ma`abar ou féminin ma`abarah) du Jourdain. Il périt en ce temps-là quarante-deux mille hommes d’Ephraïm.
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Un poste de Philistins vint s’établir au passage (Ma`abar ou féminin ma`abarah) de Micmasch.
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Entre les passages (Ma`abar ou féminin ma`abarah) par lesquels Jonathan cherchait à arriver au poste des Philistins, il y avait une dent de rocher d’un côté et une dent de rocher de l’autre côté, l’une portant le nom de Botsets et l’autre celui de Séné.
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Ils passent le défilé (Ma`abar ou féminin ma`abarah), Ils couchent à Guéba ; Rama tremble, Guibea de Saül prend la fuite.
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Tel un oiseau fugitif, telle une nichée effarouchée, Telles seront les filles de Moab, au passage (Ma`abar ou féminin ma`abarah) de l’Arnon. -
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A chaque coup (Ma`abar ou féminin ma`abarah) de la verge qui lui est destinée, Et que l’Éternel fera tomber sur lui, On entendra les tambourins et les harpes ; L’Éternel combattra contre lui à main levée.
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Que les passages (Ma`abar ou féminin ma`abarah) sont envahis, Les marais embrasés par le feu, Et les hommes de guerre consternés.
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