Mattara' ou mattarah (mat-taw-raw') ou (mat-taw-raw')

Strong Hebreu 4307

Code : 4307     Mot : Mattara' ou mattarah
Hebreu : מַטָּרָה     Phonétique : (mat-taw-raw') ou (mat-taw-raw')

Type : Nom féminin
Origine : Vient de 05201


Définition de Mattara' ou mattarah :

1) garde, salle de garde, prison, but, cible
1a) prison
1b) but (fig. de châtiment)



Traduction Louis Segond :
prison (13 fois), un but (3 fois); (16 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Mattara' ou mattarah :
Je tirerai trois flèches du côté de la pierre, comme si je visais un but (Mattara' ou mattarah).
Palal, fils d’Uzaï, travailla vis-à-vis de l’angle et de la tour supérieure qui fait saillie en avant de la maison du roi près de la cour de la prison (Mattara' ou mattarah). Après lui travailla Pedaja, fils de Pareosch.
puis au-dessus de la porte d’Ephraïm, de la vieille porte, de la porte des poissons, de la tour de Hananeel et de la tour de Méa, jusqu’à la porte des brebis. Et l’on s’arrêta à la porte de la prison (Mattara' ou mattarah).
J’étais tranquille, et il m’a secoué, Il m’a saisi par la nuque et m’a brisé, Il a tiré sur moi comme à un but (Mattara' ou mattarah).
L’armée du roi de Babylone assiégeait alors Jérusalem ; et Jérémie, le prophète, était enfermé dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah) qui était dans la maison du roi de Juda.
Et Hanameel, fils de mon oncle, vint auprès de moi, selon la parole de l’Éternel , dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah), et il me dit : Achète mon champ, qui est à Anathoth , dans le pays de Benjamin, car tu as le droit d’héritage et de rachat, achète-le ! Je reconnus que c’était la parole de l’Éternel.
et je remis le contrat d’acquisition à Baruc, fils de Nérija, fils de Machséja, en présence de Hanameel, fils de mon oncle, en présence des témoins qui avaient signé le contrat d’acquisition, et en présence de tous les juifs qui se trouvaient dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah).
La parole de l’Éternel fut adressée à Jérémie une seconde fois, en ces mots, pendant qu’il était encore enfermé dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah) :
Le roi Sédécias ordonna qu’on gardât Jérémie dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah), Et qu’on lui donnât chaque jour un pain de la rue des boulangers, jusqu’à ce que tout le pain de la ville fût consommé. Ainsi Jérémie demeura dans la cour  de la prison (Mattara' ou mattarah).
Alors ils prirent Jérémie, et le jetèrent dans la citerne de Malkija, fils du roi, laquelle se trouvait dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah) ; ils descendirent Jérémie avec des cordes. Il n’y avait point d’eau dans la citerne, mais il y avait de la boue ; et Jérémie enfonça dans la boue .
Ils tirèrent Jérémie avec les cordes, et le firent monter hors de la citerne. Jérémie resta dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah).
Jérémie resta dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah) jusqu’au jour de la prise de Jérusalem. Lorsque Jérusalem fut prise, -
envoyèrent chercher Jérémie dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah), et ils le remirent à Guedalia, fils d’Achikam, fils de Schaphan, pour qu’il fût conduit dans sa maison. Et il resta au milieu du peuple.
La parole de l’Éternel fut adressée à Jérémie en ces mots, pendant qu’il était enfermé dans la cour de la prison (Mattara' ou mattarah) :
Il a tendu son arc, et il m’a placé Comme un but (Mattara' ou mattarah) pour sa flèche.




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