Lappiyd ou lappid
Lappiyd ou lappid:
1) torche
Lappiyd ou lappid:
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Quand le soleil fut couché, il y eut une obscurité profonde ; et voici, ce fut une fournaise fumante , et des flammes (Lappiyd ou lappid) passèrent entre les animaux partagés.
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Tout le peuple entendait les tonnerres et le son de la trompette ; il voyait les flammes (Lappiyd ou lappid) de la montagne fumante. A ce spectacle, le peuple tremblait, et se tenait dans l’éloignement.
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Il divisa en trois corps les trois cents hommes, et il leur remit à tous des trompettes et des cruches vides, avec des flambeaux (Lappiyd ou lappid) dans les cruches.
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Les trois corps sonnèrent de la trompette, et brisèrent les cruches ; ils saisirent de la main gauche les flambeaux (Lappiyd ou lappid) et de la main droite les trompettes pour sonner, et ils s’écrièrent : Epée pour l’Éternel et pour Gédéon !
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Samson s’en alla. Il attrapa trois cents renards, et prit des flambeaux (Lappiyd ou lappid) ; puis il tourna queue contre queue, et mit un flambeau (Lappiyd ou lappid) entre deux queues, au milieu.
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Il alluma les flambeaux (Lappiyd ou lappid), lâcha les renards dans les blés des Philistins, et embrasa les tas de gerbes, le blé sur pied, et jusqu’aux plantations d’oliviers.
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Au malheur le mépris ! c’est la devise des heureux ; A celui dont le pied chancelle est réservé (Lappiyd ou lappid) le mépris.
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Des flammes (Lappiyd ou lappid) jaillissent de sa bouche, Des étincelles de feu s’en échappent.
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Pour l’amour de Sion je ne me tairai Point, Pour l’amour de Jérusalem je ne prendrai point de repos, Jusqu’à ce que son salut paraisse, comme l’aurore, Et sa délivrance, comme un flambeau (Lappiyd ou lappid) qui s’allume.
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L’aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c’était comme l’aspect des flambeaux (Lappiyd ou lappid), et ce feu circulait entre les animaux ; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs.
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Son corps était comme de chrysolithe, son visage brillait comme l’éclair, ses yeux étaient comme des flammes (Lappiyd ou lappid) de feu, ses bras et ses pieds ressemblaient à de l’airain poli, et le son de sa voix était comme le bruit d’une multitude.
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Les chars s’élancent dans la campagne, Se précipitent sur les places ; A les voir, on dirait des flambeaux (Lappiyd ou lappid), Ils courent comme des éclairs...
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En ce jour-là, je ferai des chefs de Juda Comme un foyer ardent parmi du bois, Comme une torche (Lappiyd ou lappid) enflammée parmi des gerbes ; Ils dévoreront à droite et à gauche tous les peuples d’alentour, Et Jérusalem restera à sa place, à Jérusalem.
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