Tereph
Tereph:
1) proie, nourriture, feuille
Tereph:
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Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage (Tereph), mon fils ! Il ploie les genoux, il se couche comme un lion, Comme une lionne : qui le fera lever ?
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C’est un peuple qui se lève comme une lionne, Et qui se dresse comme un lion ; Il ne se couche point jusqu’à ce qu’il ait dévoré la proie (Tereph), Et qu’il ait bu le sang des blessés.
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Le lion périt faute de proie (Tereph), Et les petits de la lionne se dispersent.
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Et voici, comme les ânes sauvages du désert, Ils sortent le matin pour chercher de la nourriture (Tereph), Ils n’ont que le désert pour trouver le pain de leurs enfants ;
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Je brisais la mâchoire de l’injuste, Et j’arrachais de ses dents la proie (Tereph).
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Chasses-tu la proie (Tereph) pour la lionne, Et apaises-tu la faim des lionceaux,
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Tu es plus majestueux, plus puissant Que les montagnes des ravisseurs (Tereph).
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Les lionceaux rugissent après la proie (Tereph), Et demandent à Dieu leur nourriture.
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Il a donné de la nourriture (Tereph) à ceux qui le craignent ; Il se souvient toujours de son alliance.
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Béni soit l’Éternel, Qui ne nous a pas livrés en proie (Tereph) à leurs dents !
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Elle se lève lorsqu’il est encore nuit, Et elle donne la nourriture (Tereph) à sa maison et la tâche à ses servantes.
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Son rugissement est comme celui d’une lionne ; Il rugit comme des lionceaux , il gronde, et saisit la proie (Tereph), Il l’emporte, et personne ne vient au secours.
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Car ainsi m’a parlé l’Éternel : Comme le lion, comme le lionceau rugit sur sa proie (Tereph), Et, malgré tous les bergers rassemblés contre lui, Ne se laisse ni effrayer par leur voix, Ni intimider par leur nombre ; De même l’Éternel des armées descendra Pour combattre sur la montagne de Sion et sur sa colline.
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Dis : Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Prospérera-t-elle ? Le premier aigle n’arrachera-t-il pas ses racines, n’enlèvera-t-il pas son fruit, afin qu’elle se dessèche, afin que toutes les feuilles (Tereph) qu’elle a poussées se dessèchent ? Et il ne faudra ni beaucoup de force ni un peuple nombreux pour la séparer de ses racines.
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Elle éleva l’un de ses petits, Qui devint un jeune lion, Et qui apprit à déchirer sa proie (Tereph) ; Il dévora des hommes.
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Il marcha parmi les lions, Il devint un jeune lion, Et il apprit à déchirer sa proie (Tereph) ; Il dévora des hommes.
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Ses prophètes conspirent dans son sein ; comme des lions rugissants qui déchirent leur proie (Tereph), ils dévorent les âmes, ils s’emparent des richesses et des choses précieuses, ils multiplient les veuves au milieu d’elle.
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Ses chefs sont dans son sein comme des loups qui déchirent leur proie (Tereph) ; ils répandent le sang, perdent les âmes, pour assouvir leur cupidité.
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Le lion rugit-il dans la forêt, Sans avoir une proie (Tereph) ? Le lionceau pousse-t-il des cris du fond de sa tanière, Sans avoir fait une capture ?
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Le lion déchirait pour ses petits, Etranglait pour ses lionnes ; Il remplissait de proie (Tereph) ses antres, De dépouilles ses repaires.
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