Sozo
Sozo:
Sozo:
elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera (Sozo) son peuple de ses péchés.
|
|
Les disciples s’étant approchés le réveillèrent, et dirent : Seigneur, sauve (Sozo)-nous, nous périssons !
|
|
Car elle disait en elle-même : Si je puis seulement toucher son vêtement, je serai guérie (Sozo).
|
|
Jésus se retourna, et dit, en la voyant : Prends courage, ma fille, ta foi t’a guérie (Sozo). Et cette femme fut guérie (Sozo) à l’heure même.
|
|
Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom ; mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé (Sozo).
|
|
Mais, voyant que le vent était fort, il eut peur ; et, comme il commençait à enfoncer, il s’écria : Seigneur, sauve (Sozo)-moi !
|
|
Car celui qui voudra sauver (Sozo) sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.
|
|
Car le Fils de l’homme est venu sauver (Sozo) ce qui était perdu.
|
|
Les disciples, ayant entendu cela, furent très étonnés, et dirent : Qui peut donc être sauvé (Sozo) ?
|
|
Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé (Sozo).
|
|
Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé (Sozo) ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.
|
|
en disant : Toi qui détruis le temple, et qui le rebâtis en trois jours, sauve (Sozo)-toi toi-même ! Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix !
|
|
Il a sauvé (Sozo) les autres, et il ne peut se sauver (Sozo) lui-même ! S’il est roi d’Israël, qu’il descende de la croix, et nous croirons en lui.
|
|
Mais les autres disaient : Laisse, voyons si Elie viendra le sauver (Sozo).
|
|
Puis il leur dit : Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver (Sozo) une personne ou de la tuer ? Mais ils gardèrent le silence.
|
|
et lui adressa cette instante prière : Ma petite fille est à l’extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu’elle soit sauvée (Sozo) et qu’elle vive.
|
|
Car elle disait : Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie (Sozo).
|
|
Mais Jésus lui dit : Ma fille, ta foi t’a sauvée (Sozo) ; va en paix, et sois guérie de ton mal.
|
|
En quelque lieu qu’il arrivât, dans les villages, dans les villes ou dans les campagnes, on mettait les malades sur les places publiques, et on le priait de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement. Et tous ceux qui le touchaient étaient guéris (Sozo).
|
|
Car celui qui voudra sauver (Sozo) sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera (Sozo).
|