Homoios
Homoios:
Homoios:
À qui comparerai-je cette génération ? Elle ressemble (Homoios) à des enfants assis dans des places publiques, et qui, s’adressant à d’autres enfants,
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Il leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable (Homoios) à un grain de sénevé qu’un homme a pris et semé dans son champ.
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Il leur dit cette autre parabole : Le royaume des cieux est semblable (Homoios) à du levain qu’une femme a pris et mis dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que la pâte soit toute levée.
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Le royaume des cieux est encore semblable (Homoios) à un trésor caché dans un champ. L’homme qui l’a trouvé le cache ; et, dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il a, et achète ce champ.
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Le royaume des cieux est encore semblable (Homoios) à un marchand qui cherche de belles perles.
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Le royaume des cieux est encore semblable (Homoios) à un filet jeté dans la mer et ramassant des poissons de toute espèce.
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Et il leur dit : C’est pourquoi, tout scribe instruit de ce qui regarde le royaume des cieux est semblable (Homoios) à un maître de maison qui tire de son trésor des choses nouvelles et des choses anciennes.
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Car le royaume des cieux est semblable (Homoios) à un maître de maison qui sortit dès le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne.
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Et voici le second, qui lui est semblable (Homoios) : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
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Voici le second (Homoios) : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là.
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Je vous montrerai à qui est semblable (Homoios) tout homme qui vient à moi, entend mes paroles, et les met en pratique.
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Il est semblable (Homoios) à un homme qui, bâtissant une maison, a creusé, creusé profondément, et a posé le fondement sur le roc. Une inondation est venue, et le torrent s’est jeté contre cette maison, sans pouvoir l’ébranler, parce qu’elle était bien bâtie.
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Mais celui qui entend, et ne metpas en pratique, est semblable (Homoios) à un homme qui a bâti une maison sur la terre, sans fondement. Le torrent s’est jeté contre elle : aussitôt elle est tombée , et la ruine de cette maison a été grande.
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À qui donc comparerai-je les hommes de cette génération, et à qui ressemblent (Homoios)-ils ?
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Ils ressemblent (Homoios) aux enfants assis dans la place publique, et qui, se parlant les uns aux autres, disent : Nous vous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé ; nous vous avons chanté des complaintes , et vous n’avez pas pleuré.
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Et vous, soyez semblables (Homoios) à des hommes qui attendent que leur maître revienne des noces, afin de lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera.
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Il dit encore : À quoi le royaume de Dieu est-il semblable (Homoios), et à quoi le comparerai-je ?
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Il est semblable (Homoios) à un grain de sénevé qu’un homme a pris et jeté dans son jardin ; il pousse, devient un arbre, et les oiseaux du ciel habitent dans ses branches.
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Il est semblable (Homoios) à du levain qu’une femme a pris et mis dans trois mesures de farine, pour faire lever toute la pâte.
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et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais ; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable (Homoios) à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole.
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