Lupeo:
Lupeo:
Le roi fut attristé (Lupeo) ; mais, à cause de ses serments et des convives, il commanda qu’on la lui donne,
|
|
ils le feront mourir, et le troisième jour il ressuscitera. Ils furent profondément attristés (Lupeo).
|
|
Ses compagnons, ayant vu ce qui était arrivé, furent profondément attristés (Lupeo), et ils allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé.
|
|
Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s’en alla tout triste (Lupeo) ; car il avait de grands biens.
|
|
Ils furent profondément attristés (Lupeo), et chacun se mit à lui dire : Est-ce moi, Seigneur ?
|
|
Il prit avec lui Pierre et les deux fils de Zébédée, et il commença à éprouver de la tristesse (Lupeo) et des angoisses.
|
|
Mais, affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste (Lupeo) ; car il avait de grands biens.
|
|
Ils commencèrent à s’attrister (Lupeo), et à lui dire, l’un après l’autre : Est-ce moi ?
|
|
En vérité, en vérité, je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira : vous serez dans la tristesse (Lupeo), mais votre tristesse se changera en joie.
|
|
Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre fut attristé (Lupeo) de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
|
|
Mais si, pour un aliment, ton frère est attristé (Lupeo), tu ne marches plus selon l’amour : ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
|
|
Car si je vous attriste (Lupeo), qui peut me réjouir, sinon celui qui est attristé (Lupeo) par moi ?
|
|
C’est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous fussiez attristés (Lupeo), mais afin que vous connussiez l’amour extrême que j’ai pour vous .
|
|
Si quelqu’un a été une cause de tristesse (Lupeo), ce n’est pas moi qu’il a attristé (Lupeo), c’est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer.
|
|
comme attristés (Lupeo), et nous sommes toujours joyeux ; comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs ; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses.
|
|
Quoique je vous aie attristés (Lupeo) par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si je m’en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés (Lupeo), bien que momentanément, -
|
|
je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés (Lupeo), mais de ce que votre tristesse (Lupeo) vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés (Lupeo) selon Dieu, afin de ne recevoirde notre part aucun dommage.
|
|
Et voici, cette même tristesse (Lupeo) selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire.
|
|
N’attristez (Lupeo) pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.
|
|
Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez (Lupeo) pas comme les autres qui n’ont point d’espérance.
|