Kopos
Kopos:
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Kopos:
Jésus, s’en étant aperçu, leur dit : Pourquoi faites-vous de la peine (Kopos) à cette femme ? Elle a fait une bonne action à mon égard ;
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Mais Jésus dit : Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine (Kopos) ? Elle a fait une bonne action à mon égard ;
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et si, de l’intérieur de sa maison, cet ami lui répond : Ne m’importune pas (Kopos), la porte est déjà fermée, mes enfants et moi sommes au lit, je ne puis me lever pour te donner des pains, -
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néanmoins, parce que cette veuve m’importune (Kopos), je lui ferai justice, afin qu’elle ne vienne pas sans cesse me rompre la tête.
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Je vous ai envoyés moissonner ce que vous n’avez pas travaillé ; d’autres ont travaillé, et vous êtes entrés dans leur travail (Kopos).
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Celui qui plante et celui qui arrose sont égaux, et chacun recevra sa propre récompense selon son propre travail (Kopos).
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Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail (Kopos) ne sera pas vain dans le Seigneur.
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sous les coups, dans les prisons, dans les troubles, dans les travaux (Kopos), dans les veilles, dans les jeûnes ;
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Ce n’est pas hors de toute mesure, ce n’est pas des travaux (Kopos) d’autrui, que nous nous glorifions ; mais c’est avec l’espérance, si votre foi augmente, de grandir encore d’avantage parmi vous, selon les limites qui nous sont assignées,
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Sont-ils ministres de Christ ? -Je parle en homme qui extravague. -Je le suis plus encore : par les travaux (Kopos), bien plus ; par les coups, bien plus ; par les emprisonnements, bien plus. Souvent en danger de mort,
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J’ai été dans le travail (Kopos) et dans la peine, exposé à de nombreuses veilles, à la faim et à la soif, à des jeûnes multipliés, au froid et à la nudité.
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Quepersonne désormais ne me (Kopos) fasse de la peine, car je porte sur mon corps les marques de Jésus.
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nous rappelant sans cesse l’œuvre de votre foi, le travail (Kopos) de votre charité, et la fermeté de votre espérance en notre Seigneur Jésus-Christ, devant Dieu notre Père.
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Vous vous rappelez, frères, notre travail (Kopos) et notre peine : nuit et jour à l’œuvre, pour n’être à charge à aucun de vous, nous vous avons prêché l’Évangile de Dieu.
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Ainsi, dans mon impatience, j’envoyai m’informer de votre foi, dans la crainte que le tentateur ne vous eût tentés, et que nous n’eussions travaillé (Kopos) en vain.
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Nous n’avons mangé gratuitement le pain de personne ; mais, dans le travail (Kopos) et dans la peine, nous avons été nuit et jour à l’œuvre, pour n’être à charge à aucun de vous.
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Car Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre travail et l’amour (Kopos) que vous avez montré pour son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints.
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Je connais tes œuvres, ton travail (Kopos), et ta persévérance. Je sais que tu ne peux supporter les méchants ; que tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et que tu les as trouvés menteurs ;
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Et j’entendis du ciel une voix qui disait : Ecris : Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent de leurs travaux (Kopos), car leurs œuvres les suivent.
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