Heurisko
Heurisko:
Heurisko:
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Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva (Heurisko) enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble.
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Puis il les envoya à Bethléhem, en disant : Allez, et prenez des informations exactes sur le petit enfant ; quand vous l’aurez trouvé (Heurisko), faites-le-moi savoir, afin que j’aille aussi moi-même l’adorer.
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Ils entrèrent dans la maison, virent (Heurisko) le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
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Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez (Heurisko) ; frappez, et l’on vous ouvrira.
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Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve (Heurisko), et l’on ouvre à celui qui frappe.
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Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent (Heurisko) .
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Après l’avoir entendu, Jésus fut dans l’étonnement, et il dit à ceux qui le suivaient : Je vous le dis en vérité, mêmeen Israël je n’ai pas trouvé (Heurisko) une aussi grande foi.
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Celui qui conservera (Heurisko) sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera (Heurisko).
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Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez (Heurisko) du repos pour vos âmes.
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Lorsque l’esprit impur est sorti d’un homme, il va par des lieux arides, cherchant du repos, et il n’en trouve (Heurisko) point.
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Alors il dit : Je retournerai dans ma maison d’où je suis sorti ; et, quand il arrive, il la trouve (Heurisko) vide, balayée et ornée.
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Le royaume des cieux est encore semblable à un trésor caché dans un champ. L’homme qui l’a trouvé (Heurisko) le cache ; et, dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il a, et achète ce champ.
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Il a trouvé (Heurisko) une perle de grand prix ; et il est allé vendre tout ce qu’il avait, et l’a achetée.
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Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera (Heurisko).
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Mais, pour ne pas les scandaliser, va à la mer, jette l’hameçon, et tire le premier poisson qui viendra ; ouvre-lui la bouche, et tu trouveras (Heurisko) un statère. Prends-le, et donne-le-leur pour moi et pour toi.
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Et, s’il la trouve (Heurisko), je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.
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Après qu’il fut sorti, ce serviteur rencontra (Heurisko) un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Il le saisit et l’étranglait, en disant : Paie ce que tu me dois.
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Etant sorti vers la onzième heure, il en trouva (Heurisko) d’autres qui étaient sur la place, et il leur dit : Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journée sans rien faire ?
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en leur disant : Allez au village qui est devant vous ; vous trouverez (Heurisko) aussitôt une ânesse attachée, et un ânon avec elle ; détachez-les, et amenez-les-moi.
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Voyant un figuier sur le chemin, il s’en approcha ; mais il n’y trouva (Heurisko) que des feuilles, et il lui dit : Que jamais fruit ne naisse de toi ! Et à l’instant le figuier sécha.
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