Dialogizomai:
Dialogizomai:
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Les disciples raisonnaient (Dialogizomai) en eux-mêmes, et disaient : C’est parce que nous n’avons pas pris de pains.
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Jésus, l’ayant connu, dit : Pourquoi raisonnez-vous (Dialogizomai) en vous-mêmes, gens de peu de foi, sur ce que vous n’avez pas pris de pains ?
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Le baptême de Jean, d’où venait-il ? du ciel, ou des hommes ? Mais ils raisonnèrent (Dialogizomai) ainsi entre eux ; Si nous répondons : Du ciel, il nous dira : Pourquoi donc n’avez-vous pas cru en lui ?
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Il y avait là quelques scribes, qui étaient assis, et qui se disaient (Dialogizomai) au dedans d’eux :
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Jésus, ayant aussitôt connu par son esprit ce qu’ils pensaient (Dialogizomai) au dedans d’eux, leur dit : Pourquoi avez-vous de telles pensées (Dialogizomai) dans vos cœurs ?
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Les disciples raisonnaient (Dialogizomai) entre eux, et disaient : C’est parce que nous n’avons pas de pains.
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Jésus, l’ayant connu, leur dit : Pourquoi raisonnez (Dialogizomai)-vous sur ce que vous n’avez pas de pains ? Etes-vous encore sans intelligence, et ne comprenez-vous pas ? Avez-vous le cœur endurci ?
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Ils arrivèrent à Capernaüm. Lorsqu’il fut dans la maison, Jésus leur demanda : De quoi discutiez (Dialogizomai)-vous en chemin ?
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Troublée par cette parole, Marie se demandait (Dialogizomai) ce que pouvait signifier une telle salutation.
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Comme le peuple était dans l’attente, et que tous se demandaient (Dialogizomai) en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ,
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Les scribes et les pharisiens se mirent à raisonner (Dialogizomai) et à dire : Qui est celui-ci, qui profère des blasphèmes ? Qui peut pardonner les péchés, si ce n’est Dieu seul ?
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Jésus, connaissant leurs pensées, prit la parole et leur dit : Quelles pensées avez-vous (Dialogizomai) dans vos cœurs ?
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Et il raisonnait (Dialogizomai) en lui-même, disant : Que ferai-je ? car je n’ai pas de place pour serrer ma récolte.
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Mais, quand les vignerons le virent, ils raisonnèrent (Dialogizomai) entre eux, et dirent : Voici l’héritier ; tuons-le, afin que l’héritage soit à nous.
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vous ne réfléchissez (Dialogizomai) pas qu’il est dans votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas.
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