Denarion (day-nar'-ee-on)

Strong Grec 1220

Code : 1220     Mot : Denarion
Grec : δηνάριον, ου, τό     Phonétique : (day-nar'-ee-on)

Type : Nom neutre
Origine : D'origine latine


Définition de Denarion :

Denier = "contenant dix"

  1. Une pièce romaine en argent à l'époque du Nouveau Testament. Son nom vient de ce que sa valeur était de dix "as", d'un poids d'environ 4 grammes. Principale monnaie de l'empire Romain, il semble, d'après la parabole des travailleurs de la vigne qu'elle représentait une journée de salaire. (Matthieu 20.2-13).


Traduction Louis Segond :
denier (15 fois); (15 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Denarion :
Après qu’il fut sorti, ce serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers (Denarion). Il le saisit et l’étranglait, en disant : Paie ce que tu me dois.
Il convint avec eux d’un denier (Denarion) par jour, et il les envoya à sa vigne.
Ceux de la onzième heure vinrent, et reçurent chacun un denier (Denarion).
Les premiers vinrent ensuite, croyant recevoir davantage ; mais ils reçurent aussi chacun un denier (Denarion).
Il répondit à l’un d’eux : Mon ami, je ne te fais pas tort ; n’es-tu pas convenu avec moi d’un denier (Denarion) ?
Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier (Denarion).
Jésus leur répondit : Donnez-leur vous-mêmes à manger. Mais ils lui dirent : Irions-nous acheter des pains pour deux cents deniers (Denarion), et leur donnerions-nous à manger ?
Devons-nous payer, ou ne pas payer ? Jésus, connaissant leur hypocrisie, leur répondit : Pourquoi me tentez-vous ? Apportez-moi un denier (Denarion), afin que je le voie.
On aurait pu le vendre plus de trois cents deniers (Denarion), et les donner aux pauvres. Et ils s’irritaient contre cette femme.
Un créancier avait deux débiteurs : l’un devait cinq cents deniers (Denarion), et l’autre cinquante.
Le lendemain, il tira deux deniers (Denarion), les donna à l’hôte, et dit : Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
Montrez-moi un denier (Denarion). De qui porte-t-il l’effigie et l’inscription ? De César, répondirent-ils.
Philippe lui répondit : Les pains qu’on aurait pour deux cents deniers (Denarion) ne suffiraient pas pour que chacun en reçût un peu.
Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum trois cents deniers (Denarion), pour les donner aux pauvres ?
Et j’entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier (Denarion), et trois mesures d’orge pour un denier (Denarion) ; mais ne fais point de mal à l’huile et au vin.




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