Ginosko (ghin-oce'-ko)

Strong Grec 1097

Code : 1097     Mot : Ginosko
Grec : γινώσκω     Phonétique : (ghin-oce'-ko)

Type : Verbe
Origine : Prolongement d'un verbe primaire


Définition de Ginosko :
  1. apprendre à connaître, venir à la connaissance, apercevoir, percevoir, sentir.
  2. savoir, comprendre, avoir la connaissance de.
  3. idiome Juif pour parler de la relation sexuelle entre l'homme et la femme.
  4. avoir des accointances avec, connaître.

Pour les Synonymes voir entrée 5825



Traduction Louis Segond :
connaître, savoir, comprendre, se douter, apercevoir, sentir, s'assurer de, ... ; (223 fois)


Exemples de versets utilisant le mot Ginosko :
Mais il ne la connut (Ginosko) point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.
Mais quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ne sache (Ginosko) pas ce que fait ta droite,
Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus (Ginosko), retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.
Et leurs yeux s’ouvrirent. Jésus leur fit cette recommandation sévère : Prenez garde que personne ne le sache (Ginosko).
Ne les craignez donc point ; car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu (Ginosko).
Si vous saviez (Ginosko) ce que signifie : Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n’auriez pas condamné des innocents .
Mais Jésus, l’ayant su (Ginosko), s’éloigna de ce lieu. Une grande foule le suivit. Il guérit tous les malades,
Ou dites que l’arbre est bon et que son fruit est bon, ou dites que l’arbre est mauvais et que son fruit est mauvais ; car on connaî (Ginosko) l’arbre par le fruit.
Jésus leur répondit : Parce qu’il vous a été donné de connaîre (Ginosko) les mystères du royaume des cieux, et que cela ne leur a pas été donné.
et le matin : Il y aura de l’orage aujourd’hui, car le ciel est d’un rouge sombre. Vous savez (Ginosko) discerner l’aspect du ciel, et vous ne pouvez discerner les signes des temps.
Jésus, l’ayant connu (Ginosko), dit : Pourquoi raisonnez-vous en vous-mêmes, gens de peu de foi, sur ce que vous n’avez pas pris de pains ?
Après avoir entendu ses paraboles, les principaux sacrificateurs et les pharisiens comprirent (Ginosko) que c’était d’eux que Jésus parlait,
Jésus, connaissant (Ginosko) leur méchanceté, répondit : Pourquoi me tentez-vous, hypocrites ?
Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez (Ginosko) que l’été est proche.
De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez (Ginosko) que le Fils de l’homme est proche, à la porte.
et ils ne se doutèrent (Ginosko) de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous : il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme.
Sachez (Ginosko)-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison.
le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s’y attend pas et à l’heure qu’il ne connaî (Ginosko) pas,
Celui qui n’avait reçu qu’un talent s’approcha ensuite, et il dit : Seigneur, je savais (Ginosko) que tu es un homme dur, qui moissonnes où tu n’as pas semé, et qui amasses où tu n’as pas vanné ;
Jésus, s’en étant aperçu (Ginosko), leur dit : Pourquoi faites-vous de la peine à cette femme ? Elle a fait une bonne action à mon égard ;




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